Le succès d’une entreprise dépend en grande partie de la qualité de ses employés. Cela explique pourquoi le processus d’embauche est très important pour toute entreprise et doit être géré avec soin.
Lors de l’embauche de nouveaux employés, de nombreux problèmes et questions juridiques peuvent se poser. Et la plupart des propriétaires d’entreprises et des recruteurs n’ont pas peur de ces problèmes, malgré le fait que ces problèmes peuvent ruiner l’image de leur entreprise. Que vous recrutiez des employés pour votre entreprise ou pour d’autres entreprises, vous devez éviter ces dix pièges juridiques et éthiques courants auxquels beaucoup sont confrontés lors de l’embauche d’employés.
10 Questions juridiques / Éthiques Lors De L’embauche D’employés
1. Discrimination
C’est de loin le problème de recrutement juridique le plus courant. De nombreux propriétaires d’entreprises et recruteurs discriminent les candidats d’une race, d’une tribu, d’une nationalité, d’un sexe, d’un état matrimonial, d’une religion, d’un état de santé et d’une éducation particuliers. Bien qu’il existe des lois strictes contre cela, le coupable n’est pas poursuivi car la plupart des victimes elles-mêmes ne savent pas qu’elles ont été victimes de discrimination. Un bon moyen de savoir si vous envoyez des signaux discriminatoires est de poser des questions qui vont au-delà de ce qui est habituel, comme si la plaignante est enceinte.
2. Népotisme / appartenance clanique
aider les parents sans emploi. Et cette envie prime généralement sur tout sentiment d’objectivité et d’équité de la part du recruteur.
Le népotisme, c’est quand vous embauchez un candidat parce qu’il est votre ami, pas parce qu’il est le plus qualifié pour le poste. La seule différence entre népotisme et népotisme est bénéficiaire
3. Extorsion
Certains recruteurs qui embauchent des employés pour des institutions d’entreprise mènent des entretiens privés avec des demandeurs d’emploi, exigeant qu’ils paient une certaine somme d’argent pour qu’ils soient sélectionnés pour le poste. Dans certains cas, un recruteur corrompu contacte un candidat qui a déjà été sélectionné pour le poste avant que l’entreprise ne fasse de même. Il demande de l’argent et envoie des signaux pour décider qui choisir. Ainsi, un candidat désespéré s’est précipité pour payer de l’argent, ne sachant pas qu’il allait trouver un emploi, même s’il ne l’avait pas payé.
4. Dessiner une mauvaise image de l’employeur
Dans une offre d’emploi ou une offre d’emploi, un employeur peut mettre en évidence les divers avantages de travailler pour son organisation afin d’attirer des employés de qualité qui deviendront un atout pour l’organisation. Cependant, de nombreux recruteurs ou propriétaires d’entreprise présentent des avantages exagérés pour attirer des candidats de qualité et expérimentés. C’est une simple tromperie. Et c’est juridiquement discutable.
5. Détournement d’employés de concurrents
Dans une tentative désespérée d’étouffer la concurrence, certaines entreprises ont choisi d’embaucher les employés les plus précieux de leurs concurrents. Ils le font en conférant une valeur écrasante au poste et font de leur mieux pour que leurs employés cibles soient au courant de leur position. Dès que l’employé cible manifeste de l’intérêt pour le poste et pose sa candidature, la candidature est immédiatement acceptée.
6 Recrutement d’employés non qualifiés
De nombreux recruteurs se rendent coupables d’accélérer le processus d’embauche afin de respecter les délais fixés par la direction de l’entreprise. Puisque tous les éléments de contrôle et de bon sens seront perdus, ces recruteurs sous pression finissent par embaucher des candidats incompétents.
7. Modification de certaines responsabilités professionnelles après l’embauche
Une bonne offre d’emploi devrait clairement mettre en évidence – et expliquer le cas échéant – les rôles que le candidat choisi pour combler le poste vacant doit remplir. Cependant, les employeurs sont souvent confrontés à des responsabilités nouvelles ou supplémentaires que le candidat choisi doit assumer. La plupart des victimes préfèrent généralement répondre aux demandes, car elles craignent de ne pas obtenir facilement d’autres offres si elles décident de démissionner.
8. Ne pas répondre aux questions pertinentes des candidats
Il est inapproprié pour un demandeur d’emploi de poser des questions sur les raisons pour lesquelles le titulaire précédent d’un poste vacant a été contraint de démissionner de ce poste. Le fait de ne pas répondre à ces questions lèvera un drapeau rouge et conduira à des signaux trompeurs sur l’entreprise.
9. Demande de candidature de tous les candidats
Bien qu’il ne soit pas courant pour les employeurs ou les recruteurs d’exiger des candidats qu’ils paient certains frais pour postuler, certaines entreprises le font comme un moyen de financer leur propre portefeuille. Cette pratique contraire à l’éthique est courante dans les pays où le chômage et l’indiscipline sont répandus.
10. Essayer d’offrir le salaire le plus bas possible
Une autre pratique courante d’embauche contraire à l’éthique est le montant le plus bas qu’un candidat serait prêt à accepter s’il était sélectionné pour le poste. Le défi pour les recruteurs est d’amener les recruteurs à facturer bien en dessous des normes du marché afin de maintenir les coûts aussi bas que possible.