Hier soir, je regardais le match de football Penn State vs Ohio State (que j’ai fini par éteindre après une première mi-temps terrible). Pendant que je regardais, je pensais à tout le temps que les entraînements, les voyages, la presse, les jours de match, etc. prenez dans la vie d’un joueur. Comment ont-ils le temps de faire leurs travaux scolaires et de bien les faire? La raison pour laquelle je n’ai pas fait de sport au lycée était parce que j’avais peur que cela interfère avec mes travaux scolaires de manière négative. Je crois toujours que oui. Je crois que les notes des étudiants athlètes doivent être nettement inférieures à celles des étudiants qui ne font pas de sport.
En 1986, une étude a été réalisée pour examiner la relation entre le sport et la réussite scolaire. Les notes de 24 000 élèves ont été examinées. Parmi ces étudiants, les dossiers de 1 500 étudiants athlètes et de 4 553 dossiers d’étudiants ne faisant pas partie d’équipes sportives ont été examinés. La recherche montre des preuves contre ma demande. Le GPA moyen des étudiants athlètes était de 2,67, tandis que le GPA moyen des étudiants non participants était de 2,12.
L’étude a ensuite examiné les notes d’échec reçues pour les étudiants athlètes. Au cours de la saison, 23% des F possibles pouvant être donnés l’ont été alors. Pendant la saison morte, 35% des F possibles étaient alors donnés. Plus d’étudiants athlètes échouaient pendant la saison morte que lorsqu’ils pratiquaient leur sport.
Bien que les données de cette étude semblent solides, je ne crois pas que ce soit suffisant. Afin de renforcer les preuves, je pense qu’un sondage aurait dû être donné à tous les étudiants pour leur demander de décrire les cours qu’ils suivent et combien ils suivent. Les étudiants-athlètes, en raison de leur horaire rigoureux, peuvent suivre moins de cours et / ou des cours « plus faciles ». De plus, l’enquête devrait indiquer si leur sport a ou non une exigence minimale de GPA. Les étudiants-athlètes n’obtiennent-ils que des GPA plus élevés afin d’éviter de se faire expulser de l’équipe, ou se soucient-ils vraiment de leurs notes? Cette question pourrait s’étendre davantage sur le taux de tricherie chez les athlètes. S’ils ont besoin d’un minimum de GPA pour rester dans leur équipe sportive, jusqu’où iraient-ils pour maintenir ce score entre leurs propres horaires chargés? L’évaluation de ces variables rendrait l’étude beaucoup plus intéressante et convaincante.